Suite à une visite de la cathédrale de Metz avec des élèves et à l’étonnement de l’un d’entre eux devant la rosace, l’auteure explique comment elle a abordé la rosace en mathématiques. Les grandes lignes de la démarche proposée sont :
– renoncer à présenter les notions géométriques comme un enchainement de définitions et de propriétés, allant du simple au complexe ;
– partir, au contraire, de ce que les enfants savent faire et réussissent, puis l’exploiter en transformant cette production spontanée en situation de recherche et de découverte. Ainsi, la rosace à six branches va nous conduire à la rencontre d’autres figures.
Le travail présenté dans cet article a fait l’objet de la première partie de l’atelier « Rosaces » que l’auteure a animé lors de la Journée Régionale de l’APMEP du 18 mars 2009, lui-même inspiré du livre La géométrie par le dessin au cycle III .
Elle explore la petite famille de figures géométriques engendrée par la rosace à six branches.

Dans Le Petit Vert n° 100 , l’auteure poursuit avec des super-rosaces…