Dès 1631, le jeune Blaise Pascal s’intéresse aux sciences. Toute sa vie, il recherchera la vérité et la meilleure façon de la divulguer : selon lui, une démonstration est inutile si elle ne persuade pas.
En 1642, il invente une machine arithmétique pour aider son père pour la levée des impôts.
Tout au long de sa vie, Pascal s’interroge sur l’infini, notion qui imprègne son oeuvre, tant mathématique que théologique.
Un soir de 1654, Pascal connaît une illumination mystique qui suspendra son intense production scientifique, qui annonçait le calcul des probabilités.
Les ingénieuses expériences de Pascal apportent des arguments en faveur de l’existence du vide et mettent en évidence le rôle de la pression de l’air dans l’équilibre des liquides.
Dans les dernières années de sa vie, Pascal développe ses réflexions théologiques. Il veut démontrer aux incroyants qu’ils se perdent et défendre le christianisme face aux autres religions.

Principales rubriques de ce numéro :
– Pascal, théologien et scientifique.
– Pascal, la Pascaline et les nombres (triangle arithmétique, …).
– Les vertiges de l’infini (en géométrie, préfiguration de l’analyse, …).
– La pensée de l’incertain (de Port-Royal aux probabilités !).
– L’équilibre des liqueurs (le vide, la pression de l’air, …).