Au début de son article, l’auteur déclare que la trace écrite au collège, en tant qu’un élément essentiel de réappropriation des moments forts dans le processus d’apprentissage, est caractérisé par sa temporalité et son contenu.
En ce qui concerne sa temporalité, la trace écrite doit arriver à temps : ni trop tôt ni trop tard.
Quant à son contenu, l’auteur a plutôt tendance à penser que la trace écrite doit être individualisée : à chaque élève sa trace.
Parti de ce postulat, il s’est engagé dans une réflexion autour de cette trace écrite, en s’appuyant sur des mécanismes pédagogiques déjà mis en place qu’il détaillera dans la première partie de l’article. Dans la seconde partie, il présentera le dispositif pédagogique (sur la trace écrite) qu’il expérimente en classe depuis 3 ans. Enfin, en conclusion, il fera le bilan de cette expérimentation, il continue à plaider pour cette façon de faire malgré l’équilibre entre l’aide, l’accompagnement et l’autonomisation des élèves reste difficile à trouver. Suggérer l’importance de bien faire soi-même les fiches, expliquer avec persévérance que l’énergie investie à cette fin est un gain pour la suite, n’a rien d’évident.