L’ouvrage a pour fil conducteur l’affirmation de l’auteur : « la mathématique est constituante de la nature ». Les deux premiers chapitres portent sur l’histoire des mathématiques des premières civilisations à aujourd’hui. Une place importante est donnée à certains mathématiciens célèbres. Le toisième chapitre est consacré à la « fée mathématique » : on a parlé au 20e siècle de la fée électricité, le 21e sera celui de la fée mathématique. Ce chapitre est l’occasion de montrer les implications des mathématiques dans des domaines de plus en plus variés et étendus. Le chapitre suivant intitulé « la royauté » est centré sur les rapports entre les arts, les artistes et les mathématiques. Le cinquième chapitre « Le souci de Condorcet » est une réflexion sur l’enseignement, sur « l’intelligence », la sélection, l’évolution du contenu de l’enseignement des mathématiques. Une conclusion contient en autres choses les adresses de quelques sites mathématiques, des orientations bibliographiques et le texte de « La vénus mathématique » chanson écrite par Guy Béart.