L’ouvrage traite des grands axes de la formation mathématique. De plus, il « a été conçu comme source d’idées et base de discussion ». Enfin les auteurs soulignent « l’importance accordée aux questions relatives à l’activité mathématique en général, telles que la résolution de problèmes, la communication, le raisonnement […] en les traitant sur le même pied que l’algèbre, les probabilités ou la géométrie ».
Le premier chapitre « Compétences » (9 pages) propose une analyse la notion de compétence et sa relation avec celle de savoir.
Le deuxième chapitre « Enseigner les mathématiques d’aujourd’hui » (16 pages) expose une philosophie générale de l’éducation mathématique, parente de celle développée dans le Rapport  »Danblon ». La philosophie en question sous-tend le reste de cet ouvrage. Son exposé s’appuie sur quelques termes techniques (tels que phénomène, objet mental, acquis méthodologique,…).
Le troisième chapitre « Les mathématiques du citoyen » (8 pages) montre pourquoi il faut combattre l’analphabétisme mathématique et en quoi une culture mathématique minimale concerne tout être humain, tout citoyen conscient et actif. Il essaie en outre de cerner, dans les grandes lignes, le contenu de cette culture minimale.
Les chapitres 4 à 9 traitent des différentes matières d’enseignement d’un bout à l’autre de la scolarité dans le but de montrer la continuité des apprentissages de la prime enfance à l’age adulte :
* 4 : « Grandeurs » (36 pages) ;
* 5 : « Nombres » (52 pages)
* 6 : « Géométrie » (56 pages) ;
* 7 : « Algèbre » (45 pages) ;
* 8 : « Statistiques et probabilités » avec le traitement des données et la combinatoire (28 pages) ;
* 9 : Analyse (35 pages).
A la fin de l’ouvrage figurent un glossaire et un index.