Ce livre est scindé en 23 chapitres « dont chacun correspond, en gros, à une semaine de cours ». Chaque chapitre est invariablement composé de :
– une brève note historique, avec portrait d’un mathématicien des Objectifs ;
– un Résumé de cours : toutes les définitions, tous les théorèmes, mais aucune démonstration ;
– des Méthodes, avec pour chacune un ou des exemples (qui sont parfois des démonstrations de propriétés du cours), et un renvoi à des exercices ;
– un Vrai/Faux ;
– des énoncés d’exercices (8 à 25 selon les chapitres) ;
– pour quelque-uns, une ou deux étoiles signalent une plus grande difficulté ;
– rarement, ils sont extraits ou inspirés de sujets de concours ;
– ils sont suivis d’Indications ;
– le corrigé du Vrai/Faux, avec souvent une liste d’Erreurs classiques ;
– les corrigés détaillés des exercices, assortis, en marge, de petites notes et remarques.
L’ouvrage est complété par un Index.

Les chapitres d’algèbre, parmi lesquels sont intercalés les dénombrements, précèdent ceux d’analyse. Dès le début, les connaissances de terminale sont supposées bien dominées, sans révision préalable (dérivées, logarithmes et exponentielles…). Il n’y a pas ici d’application des mathématiques aux sciences sociales. Mais les exposés de méthodes et les corrigés d’exercices sont très clairement rédigés, à la portée d’élèves dont une partie notable vient d’un bac ES ou L (avec option maths).