Le livre commence par une description des différentes parties des chapitres : deux activités préparatoires : le cours toujours présenté avec sur la page de gauche les définitions, propriétés, théorèmes ou règles à retenir et sur la page de droite « pour comprendre le cours » des démonstrations, exemples, exercices résolus ; des travaux pratiques dont l’objectif est explicité avec pour certains le commentaire « explicitement au programme » ; les exercices de fin de chapitre classés en « applications immédiates », utilisation des connaissances » et « problèmes », pour certains desquels le résultat ou une solution rapide figurent en fin d’ouvrage, de plus les exercices sont classés par thème et un codage indique leur difficulté. Enfin la rubrique « je travaille seul » renvoie aux savoir-faire étudiés dans le chapitre, contient un aide-mémoire, des QCM et des « auto-tests » dont la solution figure à la fin de l’ouvrage. De plus le livre commence par de rapides « Repères historiques » de Thalès à Descartes et chaque chapitre commence par une rubrique « A quoi ça sert » destinée à placer les notions étudiées dans un contexte culturel qui est parfois contemporain : interview d’un mathématicien contemporain (J.C. Yoccoz), quelques lignes sur la fusée Ariane ou les miroirs et antennes paraboliques, INTERNET, … ou dans un contexte historique ou en relation avec les arts graphiques ; cette rubrique renvoie parfois « pour en savoir plus » à des ouvrages ou des revues.
A la fin du livre des propositions d’activités de modules classées par compétences générales (lire, observer, organiser, puis choisir, puis organiser une démarche, puis vérifier, critiquer, puis produire, enfin justifier). On trouve encore quelques indications sur l’utilisation des calculatrices (TI 80, 82, 83 et Casio 6910).

L’ordre des 7 premiers chapitres fait alterner l’étude des fonctions et celle des calculs algébriques, puis on trouve le chapitre de statistiques, puis deux chapitres de géométrie dans l’espace, les configurations, les vecteurs, le repérage dans le plan et les équations de droites et les systèmes, enfin les transformations. Cette organisation permet des changements de cadre ainsi que des exercices alliant géométrie plane et de l’espace.